• Bonjour

     

    Je suis universaliste. Ma patrie est universelle.

    Ne vous attendez donc pas à ce que je sois ... nationaliste.

    Et pourtant, je défends la Nation française, à fond. Pourquoi ?

    Simplement parce que la France est différente,

    qu'elle a des valeurs particulières,

    que je défends moi aussi :

    Indépendance nationale, Modèle social, Droits de l'Homme, Laïcité...

     

    Et à l'heure où la France est liquidée,

    à l'heure où elle est co-dirigée, en sous-mains,

    par les Anglo-Saxons et par les Israéliens (via le CRIF),

    occupée donc, "colonisée",

    il est bon, je pense, de retrouver les élans patriotiques.

    Pour défendre cette Nation si attachante, si originale...

     

    eva R-sistons

     

     

    "Faut-il avoir honte de l'identité nationale ?"


    "L'identité nationale n'a plus la côte. Ceux qui s'en réclament développeraient un culte ringard de la France, une obsession des origines, voire un racisme honteux. La création du ministère de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement a suscité un tollé de protestations. Il n'est plus question aujourd'hui que d'" identité fantasmée ", d'" intolérance culturelle ", de " xénophobie d'Etat ".
    Faudrait il renoncer à ce qui fait la France ? Et sacrifier un héritage qui a enfanté la Révolution, l'héroïsme des tranchées et les sacrifices de la Résistance. En somme, faut il avoir honte d'être français ?"

     

    Le Chant des Partisans

     

     

     

     

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    Le Chant des partisans est l'hymne de la Résistance Française (et même européenne) durant l'occupation allemande, pendant la Seconde Guerre Mondiale.

    A Londres, où se retrouvent de nombreux responsables de la Résistance, tels que Fernand Grenier, Emmanuel d'Astier de la Vigerie dit « Bernard », on souhaite créer un chant de la Résistance. « On ne gagne la guerre qu'avec des chansons... Il faut un chant qui ait l'air de venir des maquis », dit Emmanuel d'Astier de la Vigerie. Plus qu'un chant des maquis, il deviendra un appel à la lutte fraternelle pour la liberté.

    L'idée et l'ébauche de la mélodie du Chant des Partisans sont de la chanteuse et compositrice Anna Marly qui le créa au début de l'année 1943. Joseph Kessel et son neveu, Maurice Druon, tous deux hommes de droite et tous deux futurs académiciens, en remanièrent les paroles le 30 mai, et c'est la sœur de Jean Sablon, Germaine, qui l'amena à sa forme finale et en fit un succès.

    Largué par la Royal Air Force sur la France occupée, et écouté clandestinement, ce succès se répandit immédiatement tant en France qu'ailleurs dans les milieux de la Résistance. Il se prolongea dans de nombreuses interprétations ultérieures dont celle d'Yves Montand est la plus célèbre.

    Ce chant de la fraternité est repris jusqu'à aujourd'hui. Outre Germaine Sablon, Armand Mestral, Marc Ogeret, Yves Montand, Jean Ferrat, Johnny Hallyday et Jean-Louis Murat ont interprété cette chanson que le groupe Zebda a également adaptée sous le nom de Motivés.





    Le Chant des Partisans

    Paroles de Maurice Druon et Joseph Kessel, Musique de Anna Marly



    1er couplet


    Ami, entends-tu
    Le vol noir des corbeaux
    Sur nos plaines.
    Ami entends-tu
    Les cris sourds du pays
    Qu'on enchaîne,
    Ohé partisans
    Ouvriers et paysans
    C'est l'alarme !
    Ce soir l'ennemi
    Connaîtra le prix du sang
    Et des larmes...



    2e couplet


    Montez de la mine,
    Descendez des collines,
    Camarades.
    Sortez de la paille
    Les fusils, la mitraille,
    Les grenades.
    Ohé! les tueurs
    à la balle et au couteau
    Tuez vite !
    Ohé! saboteurs
    Attention à ton fardeau...
    Dynamite...



    3e couplet


    C'est nous qui brisons
    Les barreaux des prisons
    Pour nos frères.
    La haine à nos trousses
    Et la faim qui nous pousse,
    La misère.
    Il y a des pays
    Où les gens au creux des lits
    Font des rêves.
    Ici, nous vois-tu
    Nous on marche et nous on tue
    Nous on crève...



    4e couplet



    Ici, chacun sait
    Ce qu'il veut, ce qu'il fait
    Quand il passe
    Ami, si tu tombes,
    Un ami sort de l'ombre
    à ta place.
    Demain du sang noir
    Séchera au grand soleil
    Sur les routes.
    Chantez compagnons,
    Dans la nuit, la liberté
    Nous écoute...

     

     

     

    Les Poilus, simples héros des tranchées

     Les Poilus, simples héros des tranchées
    Alors que Lazare Ponticelli, le dernier poilu vient de disparaître ce mercredi 12 mars, l'enfer des tranchées, symbole de la Grande guerre, reste difficilement imaginable: les combats sporadiques, les gazages, les pilonnages toujours plus violents, les attaques au lance-flammes mais surtout la peur, omniprésente. "Ce que nous avons fait, c'est plus qu'on ne pouvait demander à des hommes et nous l'avons fait", écrira l'académicien Maurice Genevoix, alors étudiant précipité dans la guerre de tranchées. Longtemps, ceux qui survécurent à l'enfer des tranchées eurent du mal à en parler. Certains, atrocement mutilés, sombrèrent même dans la folie. Retour sur la terrible, mais néanmoins héroïque vie des Poilus de la Grande guerre.

    Si l'Allemagne a déclaré la guerre à la France le 3 août 1914, ce n'est qu'à la fin du mois de septembre que les soldats des deux pays ont commencé à s'affronter dans les tranchées. Après l'offensive allemande de l'été 1914, les Français ripostent, mais ils n'arrivent pas à repousser leurs ennemis à plus de trois kilomètres de Reims. Les Allemands creusent des tranchées, parfois trois ou quatre les unes derrière les autres, empêchant les Français d'avancer. Ceux-ci font alors de même, et aucun des adversaires n'arrive à percer.

    "Il y avait 700km de front continu des Vosges à la mer du Nord, avec des tranchées d'une taille en général juste suffisante pour qu'un homme debout puisse être à l'abri et se déplacer assez facilement", explique François Cochet, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Metz, auteur de plusieurs ouvrages sur la guerre 14-18. "A partir de novembre 1914, plus personne ne bouge, le front est figé, jusqu'au printemps 1918 où les Allemands perceront, mais ils seront épuisés", précise-t-il.

    Pour les "poilus", une nouvelle lutte débute, qui va durer quatre ans, dans des conditions d'hygiène souvent déplorables. Les poilus, baptisés ainsi parce qu'ils ne pouvaient ni se laver, ni se raser, restaient un mois dans les tranchées avant d'être relevés et envoyés à l'arrière où il pouvaient manger chaud, à leur faim et dormir au sec.

    Pendant ces quatre ans, huit millions de Français seront mobilisés, dont quatre millions qui appartiendront à des unités combattantes. Une grande partie d'entre eux feront un séjour dans les tranchées, ainsi que des soldats britanniques, canadiens, australiens, néo-zélandais, russes, italiens, africains ou américains.

    Ce n'est pas la première fois que des armées s'affrontent dans des tranchées. C'est la reprise d'un vieux procédé déjà utilisé à l'époque de Louis XIV, puis notamment pendant la guerre de Mandchourie (1904-1905) destinée à se protéger contre l'artillerie adverse. Mais cette fois, l'attente sera longue. Chaque soldat appartenant à une unité combattante a passé plusieurs mois dans les tranchées. Souvent, ils y restaient trois ou quatre jours, puis bénéficiait du même temps de repos, avant d'y retourner. Mais ils pouvaient parfois y passer 15 jours, explique François Cochet, dans des conditions d'hygiène inexistantes, en restant tout le temps habillé.

    Trous d'obus aménagés et reliés par des fossés creusés par les soldats, les tranchées étaient le théâtre de l'horreur, de l'attente de la mort. Malgré la peur, les poux, les rats, la boue et le froid, elles étaient aussi un monde de camaraderie, d'une solidarité sans faille entre soldats d'une même unité qui trouvaient le réconfort dans les plaisanteries, les chansons ou les lettres écrites à leurs familles.

    "Les soldats dorment peu. A tour de rôle, ils sont sentinelles. En première ligne, ils sont parfois à moins de 50 mètres de l'ennemi, seulement séparés par un no man's land. Ils s'entendent parler et chanter la nuit. Il y a a eu des cas de fraternisation avec l'ennemi".

    Mais dans la plupart des cas, la situation est dure à vivre. Quotidiennement, ils essuient des tirs de l'ennemi, mais les combats directs sont exceptionnels. Ils sortent essentiellement de nuit pour récupérer les cadavres. "La plupart étaient enterrés dans des fosses communes à l'arrière du front, parfois les corps étaient brûlés", souligne Pierre Miquel. "Quelquefois, les corps des Français et des Allemands étaient mélangés".

    L'historien Pierre Miquel, auteur de plusieurs ouvrages sur la Première Guerre mondiale publiés aux éditions Tallandier et Fayard, raconte même qu'avec certains cadavres qu'on ne pouvait pas évacuer, et en l'absence de toilettes adéquates, des nuées de mouches étaient attirées par les odeurs pestilentielles.

    Les soldats se reposent rarement. Quand ils ne sont pas en surveillance, ils creusent des tranchées, fument, parlent, lisent les lettres de leurs familles ou mangent. Le ravitaillement en vivres est difficile, assuré par des hommes de troupe qui doivent parcourir souvent plusieurs kilomètres. La nourriture est constituée notamment de pain, de pommes de terre, de ratatouille, ou encore de boeuf en conserve.

    Le traumatisme psychologique qu'ont subi les soldats, qui risquent chaque jour de mourir, a été mal mesuré à l'époque. La psychiatrie s'est d'ailleurs développée après la guerre. On a parlé alors du "choc de l'obus", une crainte à laquelle s'ajoutait la proximité constante des cadavres dans le no man's land. A l'époque, la médecine militaire craignait beaucoup les simulateurs. Les dépressifs étaient assimilés à des lâches.

    Plus de deux millions de Français ont été blessés pendant la guerre. Parmi les morts, 900.000 corps ont été retrouvés et 400.000 ont été portés disparus.
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    L'Encyclopédie Patriote

    Photo de france-patriote france-patriote

    Description :

    Bonjour à vous tous !

    Je ne suis ni nationaliste ni raciste... J'aime tout simplement mon pays, la France, qui certes est loin d'être un pays parfait mais qui est peut-être le moins imparfait de cette planète !

    Je trouve qu'aujourd'hui aimer la France est mal vue, on l'assimile à du militantisme FN et donc beaucoup ont peur voire honte d'afficher leur patriotisme !

    Ce qui est franchement dommage quand on voit que ceux qui en ont la haine, eux, font plus de bruit !

    C'est pour cela que j'ai décidé de dédier ce blog entièrement à ce beau pays qu'est la France !

    Ici je tâcherai de présenter ses grands principes, ses symboles, ses institutions, son patrimoine, son Histoire, ses grandes dates, ses grands Hommes, etc.

    En résumé, ce blog a pour but de vous rendre enfin fier d'être français !

    Bonne visite !

    et surtout VIVE LA FRANCE !!!

     

     

     

    Un blog à découvrir,

     

    http://france-patriote.skyrock.com/2.html

     

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