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    5 mai 1992, 12mn30, extrait du discours. 

    L'immense, et regretté Philippe Séguin,

    tonne contre l'Europe, avant tous !

    Et avec quel talent ! Une vidéo exceptionnelle :

     

    « Nous aurions dû écouter en 1992 cet homme qui savait que l’Europe deviendrait notre cimetière ! »

     

    01 février 2019

    « Nous aurions dû écouter en 1992 cet homme qui savait que l’Europe deviendrait notre cimetière ! »

      
    J’avais 17 ans et je m’en souviens comme si c’était hier. Je n’avais pas le droit de vote (pas encore) et mes parents, qui enfants avaient vécu la guerre, voulaient absolument donner une chance à l’Europe. Alors ils avaient décidé de voter oui, en m’expliquant que si cela n’allait pas, nous pourrions toujours revenir en arrière.

     
    Le raisonnement de mes parents à l’époque est partiellement vrai ou partiellement vrai. Évidemment, on peut toujours revenir en arrière, mais les faits démontrent avec force que plus l’on avance dans une mauvaise direction, plus il est parfois difficile de faire demi-tour.
     
    Avec la construction européenne, nous sommes dans cette logique, où à chaque avancée européenne correspond un abandon de souveraineté et une destruction de structure qui rend, chaque année, plus improbable et plus incertain un retour en arrière. Ainsi avons-nous laissé se développer, essentiellement par naïveté, un monstre antidémocratique qui aujourd’hui pèse terriblement sur notre vie quotidienne.

    Pourtant, nous ne pouvons pas dire que nous ne savions pas. 
    Nous savions.
     
    Déjà à l’époque.
     
    Nous savions.
     
    Et encore aujourd’hui, trop nombreux sont les braves gens à croire qu' »ON » leur veut du bien.
     
    Déjà, à l’époque, un homme, presque seul contre tous, devant un hémicycle terriblement vide, prévenait.
     
    Expliquait.
     
    Décrivait ce qui allait se passer.
     
    Réécoutez Philippe Seguin, qui n’était ni un facho, ni un antisémite, ni un complotiste, ni un illuminé, mais un véritable homme politique comme notre pays a toujours su en faire émerger.
     
    La nuit finira et j’ai une foi absolue en la grandeur de ce si petit pays qui est le nôtre, capable du pire, et aussi du meilleur au moment où on s’y attend le moins.
     
    Au projet européen mortifère que l’on subit, nous devons opposer un projet d’unité de notre peuple, de cohésion et une vision collective pour la reconquête de notre souveraineté. Une souveraineté que nous n’aurions jamais dû abdiquer.
     
    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
     
    Charles SANNAT
     
     
     

     

    Mes précédents coups de coeur,

    notamment en fin de liste, pour le Président Assad et pour sa famille

     


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  • hilel_refuznik-3362e.

    Hilel, refuznik de 19 ans, arrêté et détenu pour son refus public de servir dans l’armée d’occupation

     

    Tous nos encouragements et félicitations à Hilel Grami qui vient de faire une déclaration fracassante pour expliquer son refus d’être incorporé à une armée d’occupation, qui opprime 5 millions de Palestiniens, tout en déclarant son admiration à l’égard des manifestants de Gaza qui ont choisi la désobéissance civile pour revendiquer leurs droits..

     

     

    Hilel, refuznik de 19 ans, arrêté et détenu pour son refus public de servir dans l’armée d’occupation

     

    Il est rare que l’armée israélienne se déplace au domicile de Juifs israéliens pour les arrêter. C’est pourtant ce qui vient de se passer, 6 jours après sa non présentation à sa base militaire, pour le jeune Hilel, 19 ans, qui a pris sa décision, mûrement réfléchie, de ne pas collaborer avec un « système antidémocratique et oppresseur. »

    C-dessous sa déclaration que nous avons traduite en Français à partir du texte en anglais que nous avons reçu du Réseau de Solidarité avec les Refuzniks :

    « Je m’appelle Hilel Garmi​. J’ai 19 ans, et je devais être incorporé dans l’armée israélienne au début août 2018.

    Récemment, dans le contexte des manifestations gazaouies près de la barrière construite à Gaza, j’ai pris le temps de lire les déclarations d’Ahmed Abu Ratima, l’un des organisateurs de ce mouvement et j’ai été très impressionné de découvrir ces gens qui ont opté pour des alternatives non armées, pour aborder la question de la situation entre la Méditerranée et le fleuve Jourdain.

    Comme eux, je crois en la désobéissance civile pour souligner le caractère illégitime de notre régime.

    Mon frère aîné et mes deux soeurs ont fait leur armée. Et quand j’étais petit, le passage par l’armée était pour moi non seulement une obligation inévitable, mais aussi un des objectifs qui me fascinaient ; et je voulais servir dans une unité d’élite.

    Mais en grandissant, et en étant convaincu que tous les êtres humains sont égaux, j’ai changé d’avis. Je ne crois pas à l’existence d’un dénominateur commun entre Juifs qui feraient d’eux des êtres différents des Arabes. Je ne vois pas pourquoi je devrais être traité différemment d’un enfant né à Gaza ou à Jénine. Et je ne pense pas que les souffrances ou les joies soient plus importantes pour les uns que pour les autres.

    Alors, je me suis demandé pourquoi 3 millions d’habitants de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est vivent sous occupation militaire depuis plus d’un siècle, et pourquoi 2 millions de Gazaouis subissent un siège militaire, imposé depuis plus de 10 ans par Israel sur terre, mer et dans le ciel.

    Qu’est-ce qui donne à Israël le droit de gérer la vie de ces 5 millions d’êtres humains ? De décider de leur droit de circuler, d’importer, d’exporter, de pêcher ou d’avoir de l’électricité ? De pouvoir les arrêter à tout moment ?

    Pas question pour moi de participer à un régime aussi anti-démocratique, et à tous les maux qu’il impose aux Palestiniens dans leur vie quotidienne, afin de permettre à une autre population de prendre leur place.

    Il y a des lignes rouges qu’on ne peut franchir, et pour moi celles-ci sont infranchissables.

    Ma décision de rendre ceci public est liée au fait que je suis convaincu que la désobéissance civile peut amener des changements sociétaux, en faisant appel au sens de la justice des plus privilégiés qui vivent dans cette région.

    Si les manifestants de Gaza ont le courage de recourir à cette option, je me sens l’obligation et le pouvoir, en tant que personne née du côté de ceux qui détiennent le pouvoir, de m’engager également dans cette voie.

    Hilel Garmi, Août 2018

    Rachel Roberts et Shimri Zameret, du réseau de solidarité avec les refuzniks nous appellent à épauler Hilel, en diffusant son message, et en l’aidant financièrement (frais de justice), ainsi que les autres refuzniks, en suivant ce lien :

    https://secure.squarespace.com/checkout/donate?donatePageId=570282fdb6aa607cbb9542c0

     

     Tamar Alon et Tamar Ze’evi refusent de servir dans l’armée en tant qu’objectrices de conscience.

    Tamar Alon et Tamar Ze’evi refusent de servir dans l’armée en tant qu’objectrices de conscience.

    (Traduit par CAPJPO-EuroPalestine)

    CAPJPO-EuroPalestine

    source:http://europalestine.com/spip.php?article14540&lang=fr&debutencart4=3

    https://reseauinternational.net/hilel-refuznik-de-19-ans-arrete-et-detenu-pour-son-refus-public-de-servir-dans-larmee-doccupation/

     

     

    http://www.france-palestine.org/Je-m-appelle-Hilel-Garmi-j-ai-19-ans-et-je-refuse-de-servir-dans-l-armee

    Un puissant exemple d’un désir fécondant une aspiration

     

    Un puissant exemple d’un désir fécondant une aspiration

     

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    Winnie Mandela, portrait interdit

    Winnie Mandela, portrait interdit

    https://reseauinternational.net/winnie-mandela-portrait-interdit/

    7.4.2018

     

    Quittant ce monde le 2 avril 2018 à 81 ans, la « Mère de la Nation » sud-africaine ne cachait plus sa déception de voir son pays sombrer progressivement dans un néo-apartheid caractérisé par la montée du racisme et de la criminalité, l’aggravation des inégalités, etc. Ses critiques contre les présidents qui se sont succédé à la tête de l’Afrique du Sud, à commencer par son ex-époux, Nelson Mandela, sont révélatrices des déceptions vécues par cette militante exceptionnelle.

    Winnie, un prénom méconnu

    Sans doute, elle doit une partie de sa popularité au nom Mandela qu’elle portait. Mais on ne saurait dire que Winnie Mandela est sortie de l’anonymat tout simplement parce qu’elle était l’épouse d’un leader historique.

    Et effet, Winnie est d’abord le prénom adopté par une charmante fille: Nomzamo Winifred Zanyiwe Madikizela. Assistante sociale de formation et de profession, elle épouse un cadre du Congres national Africain (Anc), le parti nationaliste sud-africain à la fin des années 50. Son nom ? Nelson Mandela. En 1961, avec deux enfants dans les bras, la jeune mariée est abandonnée par son époux qui vient de prendre les armes pour entrer en clandestinité. Il veut en découdre avec le régime d’apartheid qui chosifie les Noirs.

    Lorsque son mari est arrêté en 1962 et condamné peu après à la perpétuité, la jeune Winnie Mandela a encore le choix entre quitter un homme qui n’est plus là, ou se battre pour sa libération. Elle fera le deuxième choix. C’est ainsi que la jeune assistante sociale enfile la robe de militante dans l’espoir de libérer Nelson Mandela et débarrasser son pays du régime ségrégationniste. Une utopie dans l’Afrique du Sud des années 60. Mais Winnie ne se décourage pas. Elle est sans doute aidée dans cette tâche titanesque par l’amour qu’elle éprouve pour son mari parti trop tôt en prison alors qu’il défendait une cause noble.

    Dès 1970, Winnie Mandela devient une grande figure de l’ANC. Mais, l’engagement a un prix. Et Winnie le payera avec ses nombreux emprisonnements et autres sévices subis. Ce qui, paradoxalement, accroît sa renommée. Conséquence, au moment où Nelson Mandela sort de prison en 1990, Winnie n’est plus une anonyme. Elle est une combattante connue et reconnue. C’est la « Mère de la Nation » et les scandales dans lesquels son nom est cité n’altèrent pas cette renommée.

    Désaccords entre Winnie et Nelson Mandela

    Les images de Winnie et Nelson Mandela, poing levé, font le tour du monde dès la libération du prisonnier le plus célèbre de la planète en 1990. Or la popularité de ce couple extraordinaire cache quelque chose de fondamental : les deux conjoints sont plus connus qu’ils se connaissent. En effet, juste un an après leur première rencontre, les deux tourtereaux se sont mariés. Moins de deux ans après le mariage, Nelson Mandela est entré en clandestinité. Il sera arrêté en 1962. Condamné, il passera 27 ans en prison. Pendant sa captivité, il doit rarement rencontrer sa femme. Les entrevues accordées durent maximum 40 minutes. Ce qui veut dire que Nelson et Winnie Mandela n’ont pas vécu plus de deux ou trois ans ensemble. Pire, pendant 30 ans, ils ont évolué dans deux cadres différents, voire opposés. La lutte concrète pour la femme et la prison pour l’homme. L’infrastructure déterminant la superstructure, les deux personnalités à nouveau (ré)unies ne s’accordent plus sur l’issue du combat ainsi que les moyens à utiliser.

    Face à un Nelson qui accepte de laisser les terres et les mines sud-africaines entre les mains de la minorité blanche, se dresse une Winnie qui soutient haut et fort que l’apartheid ne finira pas tant que les richesses du pays resteront concentrées entre les mains d’une minorité. La dame de fer veut une nationalisation sans compensations des terres spoliées par les fermiers blancs. Ce qui ne figure pas parmi les priorités de Madiba. Le désaccord politique est profond. Et le divorce qui intervient quelques années après (1996) ne fait que séparer sentimentalement deux conjoints déjà séparés sur le terrain politique.

    Dans une interview accordée au journaliste français François Soudan en septembre 2017, Winnie Mandela dira : « Mandela et moi avons eu de nombreux désaccords. Dès le départ, lui et ses proches ont commis des erreurs dans les négociations avec le pouvoir blanc, dont nous payons aujourd’hui le prix. Par exemple, le problème des terres. Au nom de quoi devrions-nous payer pour racheter ce qui nous a été arraché par la force ? Et avec quel argent ? Le capital reste entre les mains de la minorité blanche. Rien n’a changé ». 10 ans avant, elle avait exprimé la même déception à Stephen Smith et Sabine Cessou, coauteurs du livre Winnie Mandela, L’âme noire de l’Afrique du Sud, (Calmann-Lévy, 2007).

    La colère de Winnie Mandela est fondée. Car plus d’un quart de siècle après l’abolition de l’apartheid, l’Afrique du Sud reste une « propriété » de la minorité blanche qui contrôle plus de 73% du territoire et la quasi-totalité des mines. Le chômage affecte 30% de la population, essentiellement des Noirs. Le racisme et la grande criminalité reviennent au galop. Pourtant, depuis 1994, le pays est dirigé par les membres de l’Anc. Visiblement, ces derniers ne trouvent plus la nécessite de lutter parce que millionnaires ou milliardaires.

    Winnie, fidèle au combat

    Pour Winnie, c’est inacceptable. Au risque de s’attirer les foudres de ses camarades du parti, elle est devenue le porte-parole des millions de Sud-africains qui, depuis les bidonvilles du pays, accusent les cadres de l’Anc de s’être alliés avec l’oligarchie blanche pour mieux les exploiter. Normal puisque Mama Winnie comme l’appellent ses nombreux partisans, a décidé de vivre dans le township de Soweto, alors que ses compagnons de lutte d’hier coulent des jours heureux à Johannesburg et autres quartiers huppés. En immersion permanente, Winnie était donc la voix la plus autorisée pour juger l’action des dirigeants en milieu pauvre. D’où sa popularité auprès des défavorisés.

    Ce qui n’est pas le cas des différents présidents qui se sont succédé à la tête du pays, à savoir Nelson Mandela, Thabo Mbeki, Jacob Zuma et Cyril Ramaphosa.

    Winnie et les « infréquentables »

    Rebelle assumée, Winnie n’était pas une girouette qui suivait la direction du vent. Assise sur des convictions idéologiques et politiques fortes, elle ne cachait pas ses affinités avec ceux qui défendent la même cause qu’elle. Dans son pays, elle était proche de Julius Malema, l’ex dirigeant de la ligue des jeunes de l’Anc exclu du parti en 2012 parce qu’il exigeait la nationalisation des terres et des mines concentrées entre les mains de quelques oligarques. Julius Mandela qui était devenu un confident de Winnie Mandela peu avant sa mort lui a rendu un hommage appuyé en ces termes: « Parce que Mama [Winnie] vivait au milieu de son peuple et parce qu’elle ne l’a jamais trahi, ils lui ont donné le titre de Mère de la Nation. C’est ce que nous sommes venus célébrer ici ; la vie de quelqu’un qui n’a jamais pris de haut les Noirs et les masses pauvres ».

    En 2017, François Soudan posait la question suivante à Winnie Mandela : « Il y a, à vos portes, l’exemple même du chef d’État accroché au pouvoir : Robert Mugabe, 93 ans. Que pensez-vous de son évolution ? » La réponse de Winnie est sans équivoques : « Écoutez, à l’époque de l’apartheid, alors que nous luttions contre un appareil répressif raciste, vicieux, meurtrier, Robert Mugabe et la Zanu-PF ont été parmi les rares à nous offrir aide et protection, alors que les Occidentaux qui les vilipendent aujourd’hui collaboraient avec le régime blanc. Robert Mugabe est un vieil ami, et vous ne m’entendrez pas dire du mal de lui. Je me l’interdis. Cela vaut aussi pour Mouammar Kadhafi, et pour tous ceux qui nous ont aidés».

    Winnie au banc des accusés

    Comme toutes les vedettes qui osent s’opposer aux intérêts des Maîtres du monde, Winnie Mandela a été diabolisée. Son image a été traînée dans la boue par ceux qui la présentaient comme une femme « controversée ». Or « Parler de controverses, c’est oublier la dureté de la vie qu’elle a connue dans l’Afrique du Sud sous l’apartheid, après l’emprisonnement de son mari. En même temps, je dois dire que le Congrès national africain (ANC) était un peu responsable de la situation dans laquelle elle s’est retrouvée. A un moment de la lutte contre l’apartheid, à la fin des années 1970, les dirigeants de l’ANC ont voulu personnaliser la lutte. Pendant les manifestations, sur les banderoles, il y avait une vieille photo de Nelson Mandela et sa photo à elle. Quand je vois ces banderoles, je dis toujours qu’on avait mis sur les épaules de Winnie le grand manteau de Nelson. C’est ainsi qu’est née d’ailleurs la légende de la « Mère de la Nation ».

    Il poursuit : « C’était un rôle un peu trop grand pour elle, qui était encore une jeune mère de famille, sans convictions politiques réelles. Certes, elle se réclamait déjà d’extrême gauche et elle était pour la lutte armée jusqu’au bout, mais elle aurait eu du mal à construire un discours politique cohérent. On la comparait continuellement à Nelson Mandela, qui était un personnage hors du commun, qui avait déjà réfléchi sur l’avenir de l’Afrique du Sud et qui avait surtout une pensée politique structurée. Tout cela a joué en la défaveur de la jeune Winnie Mandela ». Celui qui fait cette démonstration sait bien de quoi il parle. Jean Guiloineau puisqu’il s’agit de lui, est un fin connaisseur de l’Afrique du Sud. Il est l’auteur d’une biographie de Nelson Mandela (Payot et Rivages, 1994). Il a également traduit ses Mémoires, Un long chemin vers la liberté. Il prépare un livre qui paraîtra chez Robert Laffont en juillet prochain sous le titre Les lettres de prison de Nelson Mandela.

    Winnie Mandela n’était pas une figure immaculée. Comme tous les humains, elle a souvent trébuché. Mais elle a surtout combattu le bon combat qui mérite reconnaissance et déférence. D’ailleurs, les injustices persistantes en Afrique du Sud sont la preuve que le combat doit être poursuivi.

    Olivier Ndenkop

    Source : Investig’Action


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    happiness-steve-cutts-1

     

    Happiness : En quête du bonheur…

     

    Tout y est : le temps gaspillé à courir pour rien, le bonheur qu’on cherche aux mauvais endroits et l’argent qui nous détourne de l’essentiel. Puissant.

    Vous pensez qu’on passe trop de temps à courir et que les buts poursuivis ne sont pas toujours les bons ? Alors la dernière création du talentueux Steve Cutts devrait vous toucher en plein cœur.

    L’artiste Steve Cutts a publié une nouvelle animation dans laquelle les hommes et les femmes sont incarnés… par des petits rats. Partout, on leur vend le bonheur à grand renfort de messages publicitaires géants et colorés. Mais ce bonheur est-il réellement atteignable dans ces conditions ? N’est-ce pas un leurre ? Une analogie puissante et, une nouvelle fois, remarquablement bien mise en scène.

    Alors, bien sûr, le but de cette vidéo n’est ni de nous remonter le moral, ni de nous amuser. Juste de nous ouvrir les yeux et de nous inviter à prendre du recul sur nos comportements. Et ça, c’est déjà énorme et très précieux.

     

    Source :https://positivr.fr/steve-cutts-happiness-souris/

    via:https://aphadolie.com/2017/11/30/happiness-en-quete-du-bonheur/

     

     

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     http://reseauinternational.net/happiness-en-quete-du-bonheur/

     

     

     


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