• http://yvette-richard-lequeau.over-blog.com/ - Les poésies de la vie

     
     
    Jeudi 2 octobre 2008

     

    Ma langue aux chats....


    Clic par-ci, clic par-là


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    Lequel des deux est le plus fréquentable ?

     

    Patricia  habitait près de chez nous,

    et dans notre quartier il y avait des chats tziganes,

    en l’occurrence celui qui était surnommé Mimiroux.

    (Qui, comme son surnom l’indique, était roux).

    La chatte de la maison, Toupie, acceptait ce chat

    mais elle le regardait avec dédain.

    Pas beau !

    Négligé !

    C’était un vagabond.

    Et elle ne voulait pas le fréquenter.

    Un jour que ce mal fagoté s’était installé

    devant l’assiette de soupe qui ne lui appartenait pas,

    Patricia vit sa Toupie s’asseoir tout près de lui.

    Beurk ! Il mangeait salement !

    Son regard en disait long sur ses intentions.

    Il allait se passer quelque chose,

    il fallait qu’il se passe quelque chose.

    Et effectivement il se passa quelque chose

    mais pas ce qu’elle attendait.

    Notre dédaigneuse Toupie se mit à roter au-dessus de l’intrus,

    un gros rot bien sonore.

    Peu digne d’une chatte de maison.

    Le chat fit un bon en arrière.

    Qu’avait-elle cette furie ?

    Mieux valait partir sans demander son reste.

    Et il se sauva à toutes pattes.

    Et notre Toupie prit sa place sans remords.

     

    Les lectures n'y sont pas les mêmes.
    Les copains non plus !
    Mais ce n'est qu'un essai !

     

    La Méditerranée à Cherchell
    photos prêtées par Caessar (http://caessar.skyrock.com/)
    De merveilleuses photos vous attendent sur ce site.



    Le tombeau de la Chrétienne
     


    Le bois des Gripots

     

     

    Ah ! Qu’il fait bon s’aventurer dans ces sous-bois,

    A l’heure où l’été paresseux est encor roi.

    Marcher sur les sentiers tracés par nos ancêtres,

    Que faut-il de plus pour nourrir notre bien-être ?

     

    S’enivrer, heureux, de l’odeur des baies sauvages

    Des fougères, de la mousse  sous les feuillages.

    Voir se faufiler dans l’herbe le vert lézard,

    Sursauter inquiet à la crainte du renard.

     

    Entendre le doux vent léger  dans la feuillée

    Des  saules, des frênes,  bouleaux et prunelliers,

    Des grands chênes formant une voûte sombre,

    Des taillis touffus et  menaçants dans l’ombre.

     

    Rejoindre la fée Carabosse buissonnière,

    S’étourdir du cri des enfants dans sa clairière.

    Oublier la ville bruyante pourtant proche,

    Marcher, le cœur léger et les mains dans les poches.

     

    Yvette



    La pointe, photo envoyée par Rachid

    La Pointe

      Ce n’était pas à proprement parler une plage ;
    Il y avait beaucoup de rochers qui entraient dans la mer.
    Il fallait être acrobate pour sauter de l’un à l’autre.
    On y pêchait des «
    arapèdes »,
    ce que l’on appelle en France des «
    berniques », et des oursins.
    Il y avait aussi des poulpes, des pieuvres, il fallait s’en méfier.
    Justement, en parlant de ces mollusques à tentacules,
    Arlette et moi avons eu la peur de notre vie à cet endroit.
    Nous étions en groupe mais cette fois-ci
    avec des gendarmes en permission et de plus
    un nouveau qui débarquait dans la caserne.
    C’était son premier jour et il en profitait pour découvrir le village.
    Il passait donc la journée avec nous à la Pointe.
    Je ne quittais jamais ma sœur d’une semelle - c’était ma référence ! -
    je la suivais en sautant derrière elle sur les rochers.
    Et à un moment, la panique s’empara d’Arlette,
    il y avait un poulpe «énorme»
    qui commençait à tendre ses tentacules sur les pierres.
    Moi, j’étais subjuguée, je ne bougeais pas.
    Elle n’avait jamais sauté aussi haut de sa vie.
    Elle criait et moi, je ne bougeais pas,
    j’avais peur mais j’étais paralysée.
    Heureusement que l’on est venu à notre secours.
    Pourtant, nous étions prévenues :
    les pieuvres pouvaient nous tirer dans l’eau
    aussi facilement que de le dire,
    nos petites jambes étaient une proie tentante.
    Le mollusque n’a pas résisté à l’assaut de ses assaillants.
     Il a fini, le lendemain, sur la table
    où notre mère l’avait cuisiné d’une manière particulière à elle
    et elle avait invité tous les  protagonistes de la veille.


    http://yvette-richard-lequeau.over-blog.com/article-22960080.html


    Ce blog :

    • : 04/04/2008
    • : Mes passions: poésie, peinture, chats
    • et tous les animaux
    • Mes souvenirs d'enfance en Algérie, Gouraya, Cherchell, Bou-Medfa, etc.
    • : peinture écriture poésie animaux Algérie
    • : Très passionnée par la nature en général.Ainsi je peins ce que je vois et j'écris ce qui ne peut être peint. J'écris sur mon pays natal: l'Algérie, Gouraya, Cherchell, Bou-medfa etc.
    • : France Nantes
    • : Femme
    • : Béjar

    •   La peinture et moi

      La peinture et moi,
      Nous étions amies d’enfance.
      Elle, généreuse, enjôleuse.
      Moi, sensible et romantique.
      Nous étions complices,
      Nous avions des rêves d’avenir.
      Elle était ma gabare
      Et moi son moussaillon.
      Nous voguions entre des rives colorées,
      Heureuses, radieuses.
      La peinture et moi,
      N
      ous étions amies d’enfance.
      Mais un jour, on nous a décriées.
      On nous a séparées.
      Et moi, avec l’innocence de l’adolescence
      J’ai accosté et j’ai laissé sur le quai
      Ma joie de vivre, ma passion.
      Je l’ai reniée, ingrate, méprisante
      Pour aller vers d’autres horizons.
      La peinture et moi,
      Nous étions amies d’enfance.
      Mes pas, loin d’elle s’en sont allés.
      Mais mon corps lui a donné sa revanche
      A son tour, lui, a voulu m’abandonner.
      Révolte, souffrance, démission,
      Tourmente, affliction.
      Je pars, ma vie ne tient plus.
      Tout en moi n’est que regret.
      Ma gabare, mon amie, où es-tu ?
      La peinture et moi,
      Nous étions amies d’enfance.
      Elle a entendu ma prière,
      A vu mon désarroi.
      Elle est arrivée peu rancunière
      Et nous avons retrouvé notre connivence.
      Elle est là, mon amie.
      Elle sait, elle a compris
      Elle m’a montrée le chemin du mieux-vivre,
      Patiemment, tout en douceur.
      La peinture et moi,
      Nous sommes amies d’enfance.
      Nous glissons côte à côte sur une eau claire.
      Elle est redevenue ma gabare
      Et ma main a repris la barre.
      Mais je suis à l’automne de ma vie
      Alors mon bateau, quand je serai vraiment cassée,
      Vogue sans moi sur le courant,
      Vers un autre cœur
      Car je sais que toi tu ne mourras jamais.


      Je vous souhaite la bienvenue sur mon blog.




      Petit matin


                                                            Un tableau à l'huile que j'ai réalisé en 2005



      Le chien, le meilleur ami de l'ours
      A regarder absolument, c'est superbe !!!

      http://yvette-richard-lequeau.over-blog.com/article-23071311.html





      Soleils couchants, Paul Verlaine

      Peinture de Dupuy

      Soleils couchants

      Une aube affaiblie
      Verse par les champs
      La mélancolie
      Des soleils couchants.
      La mélancolie
      Berce de doux chants
      Mon cœur qui s'oublie
      Aux soleils couchants.
      Et d'étranges rêves,
      Comme des soleils
      Couchants sur les grèves,
      Fantômes vermeils,
      Défilent sans trêves,
      Défilent, pareils
      A de grands soleils
      Couchants sur les grèves.

      Paul Verlaine 


      anka



       

      Si l’envie vous prend
      de parcourir tous mes articles,
      vous découvrirez que j’ai plusieurs passions,
      en dehors de ma famille, cela va de soi.

      Pour les animaux et plus spécialement
      pour les chats.
      Beaucoup d’histoires
      car ils ont été nombreux
      ceux qui ont accompagné ma vie.

      Pour la peinture.
      Je vous montrerai certaines
      de mes créations à l’huile.
      Pour la poésie et l’écriture.
      J’ai commencé à écrire mes mémoires
      – mon enfance en Algérie -,
      vous pourrez lire quelques passages
      de mes écrits et des poèmes
      sur ce qui ne peut être peint.

      Et puis je vous parlerai
      de ma ville d’adoption :
      Saint Sébastien sur Loire.

      Pour vous permettre
      de vous y retrouver
      choisissez la catégorie
      dans la colonne de droite.
      N’hésitez pas à ajouter
      un commentaire sous mes articles,
      si le cœur vous en dit.

      Mon nom de blog est « Béjar » ,
      mon prénom : Yvette

     











    Et encore ceci, parmi d'autres choses de la vie...


     

    Viens chez moi, j'habite chez un copain
    Ou l'art de faire son nid chez les autres

    Lili essayant de se faire une petite place dans le pannier de Pimousse. A côté d'eux: Roméo le frère de Lili et Titeuf

    Il faut dire que le pauvre petit Pimousse (qu'on voit à peine) a élevé à lui tout seul cette grosse poule et son frère . Il les a éduqués et restera toujours leur "père adoptif".

    publié dans : Mes chats d'occasion communauté : Ma langue aux


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