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    "L'UPR est le parti qui reprend la Résistance !"

    Claude Roddier, astrophysicienne, fille d'un responsable de maquis en 40 :

    https://www.youtube.com/watch?v=FYnD_5DQlTE&feature=youtu.be

     

     

     

    UPR-Roddier.jpg

     

    "L'UPR : c'est le parti qui reprend la Résistance !".
    Ces mots prononcés par une personnalité de la Résistance varoise

    sonnent comme un nouvel appel du 18 juin.
    La situation de la France de 2014 est comparable à celle de 1944.

    Le peuple a été trahi par ses représentants

    qui ont accepté l'asservissement à une puissance étrangère.

    La France comme l'ensemble des nations européennes,

    se retrouve sous la domination d'une oligarchie

    animée par une volonté impériale.
    La stratégie est la même qu'avec les Indiens d'Amérique,

    puis avec les Etats d'Amérique du Nord :

    la signature de traités qui seront imposés aux peuples colonisés

    sans être jamais respectés par leurs instigateurs.
    En France, nous avons eu les traités de Rome,

    puis de Maastricht puis de Lisbonne et demain le "TAFTA".
    Assez de collaboration, assez de soumission !
    La solution c'est de briser l'engrenage en exigeant,

    sans ambiguïté, la dénonciation de ces traités infâmes.
    L'article 50 du traité de Lisbonne le permet.
    Exigeons sa mise en application sans délai.
    Tel le but de l'Union Populaire Républicaine... son seul but.
    Plus d'infos www.upr.fr
    Pour en savoir plus sur Mme RODDIER, c'est là :
    http://rene.merle.charles.antonin.ove...

     

     

     

    La mort de la France


     

     

     

     

    J'en ai parlé sur tous mes blogs,

    l'occasion pour vous de les découvrir !

    Entre autres ici :

     

    L'UE est une escroquerie ! J'appelle à sortir de l'UE avec l'UPR (+ vidéos)

    L'Union européenne est un monstre, sortons-en ! La vidéo d'eva R-sistons

    L'Union Européenne est une escroquerie ! Sortons-en, avec l'UPR !

    Scandale.L'UPR est le Parti qui progresse le plus, et TOUT est fait pour le masquer

    Guerres d'hier et d'aujourd'hui (+ vidéo d'eva R-sistons, entre autres)

    L'UE est notre ennemie. Sortons-en ! Pour cela un seul Parti, l'UPR


    Alerte ! L'Europe est le tremplin du Nouvel Ordre Mondial. Sortons- en !

     

    Peut-on sortir de l'UE ? L'article 50 - L'Islande a dit non, et se porte bien

     

    Les mensonges de l'UE - L'UE totalitaire soutient les nazis en Ukraine

     

    L'UE est malfaisante, dossier avec vidéos. Il faut en sortir ! Voici comment

     

    Alerte, scandale ! Si un Parti appelle à sortir de l'UE, il est censuré !

     

    L'UE est une escroquerie,les médias le cachent ! - La France va disparaitre

     

    La France n'est plus une démocratie. Censures, désinformation.. dictature !

     

    L’Europe: Bientôt le 51ème Etat de l'Empire. Ses racines américaines (vidéo 2mn) 

     

    Je dénonce cette UE dans ma vidéo

    (hélas, les 7 dernières mn ont été coupées/UPR)

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    Je suis une impertinente,

    alors j'aime les dessins impertinents !
    Cette fois, c'est Valls qui en fait les frais !

    (eva)

     

    DIEUDONNE - Quenelle : Les dernières caricatures qu’ils ne vont pas du tout aimer

     

    Les humoristes, comme Nicolas Canteloup, tous les jours de la semaine sur TF1, s’inspirent de Dieudonné, pour faire leur chronique. Les caricaturistes aussi et autres détourneurs d’images et spécialistes de Photoshop. C’est ainsi que nous avons récupéré, d’une part, un dessin du peintre Souleymane Ndiaye, une image détournée de Manuel Valls en forme d’affiche de cinéma, et d’autre part, deux caricatures du dessinateurs Ybag…
     

     

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    C’est juste pour le fun, pour que votre week-en soit doux. Dieudonné joue ce soir au théâtre de la Main d’Or, avant de s’envoler pour la Suisse où, il jouera le 03 mars et le 04 mars prochains. Il suffit de cliquer sur ces deux images pour avoir une grosse surprise…? Non, pas vraiment, mais, essayez…

     

    Dieudo Tue Valls

     

    Ybag

    Ybag

    Ybag

     

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    http://www.chaos-controle.com/archives/2014/03/02/29342935.html

     

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    ÉLÉMENT TERRE

     

     

    ÉLÉMENT TERRE

    Dernière modification : 20/02/2014

    Inde : l'innovation low-cost

     

    L'Inde est le berceau de l'innovation frugale ou comment faire plus avec moins et créer des produits de qualité à bas coût.

     

    Depuis vingt ans le Honey Bee Network du Professeur Gupta permet aux paysans d’innover et de matérialiser leurs idées pour résoudre leurs problèmes du quotidien.

     

    L'innovation frugale fait son chemin dans tous les secteurs. En novembre dernier, l’Inde a envoyé sur Mars une sonde spatiale à prix cassé. Et des entreprises se lancent également dans le créneau de l’innovation low-cost.

     

    Nous sommes allés dans l’État du Gujarat, sur les traces des inventeurs indiens les plus prometteurs.

     

     

    Par Marina BERTSCH , Mairead DUNDAS , Juliette LACHARNAY , Johan BODIN , Anna-Gaelle BRAU

     

     

     

    La vidéo ici :

     

    http://www.france24.com/fr/emission/element-terre/.

     

     

     

    Et par exemple,

    fabriquer un frigo fonctionnant sans électricité.

    Il faut de l'argile, etc...

    Utile pour être autonome,

    surtout en des temps aussi incertains !

    Eva R-sistons

     

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    Espagne : Dans ce squat andalou, des femmes « sans lumière, sans eau, et sans peur »

     

    Dans un immeuble squatté de Séville, en Espagne, des mères de famille victimes de la crise ont pris le pouvoir et créé une communauté « utopique ». Leur expulsion est prévue pour le 15 février.

    Alexia Eychenne | Journaliste

     


     

    L’immeuble du Corrala de Vecinas, le long d’une avenue périphérique de Séville, le 17 octobre 2013 (Alexia Eychenne)


    (De Séville, Andalousie) De loin, le bâtiment ressemble à n’importe quel squat d’un mouvement pour le droit au logement, slogans compris. « Plus personne sans toit, plus de toits sans personne », proclament sur la façade des draps tagués de noir. Mais dans l’arrière-cour transformée le dimanche en lieu d’assemblée générale, dans le parking sans voiture où les occupants préparent leurs actions, seules les femmes prennent la parole, comme les décisions.

    Nous sommes au « Corrala de vecinas », inauguré il y a vingt mois dans quatre immeubles vacants, le long d’une avenue périphérique de Séville. Venus du XVIe siècle, les « corrales » étaient des immeubles où les familles vivaient en communauté autour d’un patio. Et « vecinas », les voisines, parce que les femmes, et non les hommes, décident de son sort.

    La honte du pater familias

    Les militants du mouvement du 15-M – les Indignés espagnols – n’en reviennent toujours pas. En 2011, au plus fort de la crise, ils ont ouvert à Séville des « Pive », sortes de permanences pour les Espagnols expulsés en masse de leurs logements, par les banques ou les propriétaires. Attablé dans un troquet du quartier ouvrier de la Macarena, à deux pas du squat, Juanjo, la trentaine, se souvient :

    « Nous avons vu débarquer 80% de femmes. Beaucoup de mères seules qui se sont retrouvées à la rue après avoir perdu leur travail. D’autres avaient des maris. Mais ils n’ont pas supporté de ne plus pouvoir jouer le rôle du “chef” de famille que la société leur prête. Soit ils les ont quittées, soit ils sont restés en retrait et les femmes ont dû aller de l’avant. »

    Une nuit de mai 2012, une dizaine de femmes aidées des Indignés a donc fracturé les serrures du bâtiment neuf en briques roses. Poussé trop vite du temps de la bulle immobilière, il a été revendu par son propriétaire en faillite à la caisse d’épargne IberCaja. Laquelle n’a pas l’intention de le louer, pas même aux voisines qui proposent de verser un petit loyer. 36 familles y vivent aujourd’hui.

     


    « Ceci est notre maison » : un slogan dans le garage où les voisines préparent leurs actions (Alexia Eychenne)

     

    A 45 ans, divorcée et mère d’un ado de 14 ans, Toñi n’aurait jamais imaginé faire partie d’une telle équipée. L’histoire de cette grande femme au visage buriné de gitane, point noir tatoué entre les yeux, fait écho à celles de dizaines d’autres « voisines ». Des femmes humbles, souvent au foyer ou condamnées à laver celui des autres :

    « Avant la crise, mes ménages et mes petits boulots d’aide à domicile me permettaient de survivre. J’ai toujours tout payé : loyer, eau, électricité. Mais j’ai perdu mon appartement avec mes quelques clients. La culpabilité était terrible. J’ai laissé mon fils à ma sœur et dormi une semaine dans ma voiture avant d’entendre parler du projet d’occupation. »

    « Ce que je vis ici ? C’est divin »

    Toñi reçoit aujourd’hui dans un trois-pièces égayé par des peintures aux murs. Elle assure que le squat ne lui apporte pas qu’un abri :

    « Ce que je vis ici ? C’est divin. Avant d’arriver, je connaissais peu de gens, je n’osais pas mettre les pieds dehors à moins d’aller travailler. Mes soirées, je les passais devant la télé. Moi qui ai toujours dû tout assumer seule, j’ai trouvé une famille. Mon fils ne veut plus partir. »

    Aguasanta ne dit pas autre chose. Elle aussi fait aussi partie de ces femmes maltraitées par la vie et la crise, qui trouvent dans l’aventure un peu de réconfort. Du genre taiseux, visage grave, elle raconte trois ans de chômage et une équation impossible : payer 550 euros de loyer en n’en gagnant 300. Puis une nouvelle vie, collective cette fois, qui l’a aidée à relever la tête :

    « Jusque-là, mon quotidien tournait autour de mon foyer, des repas et de mes trois enfants. Quand j’ai perdu mon logement, j’ai frappé à beaucoup de portes sans que personne ne m’aide. Ici, les femmes n’attendaient que ça. J’ai découvert du jour au lendemain que l’on pouvait compter les unes sur les autres. »


    Elena (au centre) avec des voisines, sur l’esplanade au pied de l’immeuble (Alexia Eychenne)

    La porte grande ouverte

    La solidarité de la Corrala consiste d’abord à laisser « sa porte grande ouverte », explique Elena. La trentenaire au visage poupon prenait, elle aussi, la direction d’une vie de galère et d’impuissance. Au chômage comme presque tous ses amis, elle a été coiffeuse et caissière, toujours en CDD :

    « 50 à 70% de mon salaire passait dans mon loyer. Quand mon contrat s’est terminé, j’ai dû retourner vivre chez ma mère, avant de m’installer ici. »

    A la Corrala, elle donne des coups de main à celles qui en ont encore plus besoin :

    « On s’organise pour garder les enfants des mères seules. Quand on manifeste, une ou deux d’entre nous rentrent plus tôt pour leur faire à manger, pareil quand des voisines qui travaillent tard. Chacun vit chez soi mais on essaye de résoudre les problèmes ensemble. »


    L’arrière-cour où se tient l’assemblée générale chaque dimanche (Alexia Eychenne)

    Le squat est devenu une petite communauté avec ses règles et ses rituels. Le dimanche à 19 heures, la cour nichée entre les quatre blocs se transforme en agora. A la tête d’une commission, Toñi, la gitane, livre chaque semaine son compte-rendu des « bonnes relations entre voisins » devant une centaine de personnes. D’autres font pareil pour le ménage – réparti par étage – l’intendance, etc., et soumettent les décisions au vote de l’assemblée.

    C’est aussi là que les femmes décident des actions à mener pour revendiquer le droit à un logement digne, prévu par la Constitution espagnole. Aguasanta a manifesté presque tous les jours devant le siège sévillan d’IberCaja, participé à des flash-mobs de danse sévillane contre les expulsions d’autres squats, négocié avec les autorités provinciales et municipales ou le Défenseur du peuple andalou. Elle s’anime quand elle en parle :

    « Aller voir tous ces gens pour défendre des droits que je ne pensais même pas avoir, ça a changé l’image que je me faisais de moi-même, j’ai l’impression de m’être réalisée en tant que femme. »

    Pour Elena, les voisines ont pris conscience qu’elles avaient un peu de pouvoir, le début d’un processus d’« empoderamiento » :

    « Ça ne s’est produit dans aucun autre squat de Séville, c’est déjà une petite victoire. »

    Au début, un des occupants battait sa femme


    Une voisine sur l’esplanade au pied de l’immeuble (Alexia Eychenne)

    Elles sont tellement ébahies, les voisines, de ce qu’elles ont osé dire et faire ces derniers mois, qu’elles ont rebaptisé le squat « L’Utopie ». C’est un mot qui aimerait faire oublier le long chemin de misère et d’exclusion dont elles ne sont pourtant pas encore sorties.

    Beaucoup ont subi des années de violence conjugale. Dans les premiers mois de la Corrala, un des occupants battait d’ailleurs sa femme. Les voisines sont allées le trouver, raconte Elena :

    « On lui a dit qu’il n’était pas question qu’il reste s’il continuait, alors il est parti. On a essayé de soutenir sa femme et de la convaincre de porter plainte. Mais elle a fini par disparaître, on ne sait pas ce qu’elle est devenue. Ces questions-là ne se règlent pas en un jour. »

    Même protégées pour un temps de la rue, les voisines vivent toujours dans la précarité. L’accès à l’eau et à l’électricité a été coupé. Les familles bricolent, entre générateurs, batteries solaires et réchauds. Sur l’esplanade qui sépare le squat d’un hôtel du groupe Marriott, un ballet se produit toutes les heures : les femmes chargent un charriot de bouteilles vides et les remplissent à une fontaine avant de les remonter dans les étages.


    Une famille du squat remplit des bouteilles d’eau à la fontaine publique (Alexia Eychenne)

    Expulsion prévue le 15 février

    Au chômage avec son fils de 9 ans et Jesus, son compagnon malade d’un cancer, Manuela, 42 ans, flanche parfois :

    « Bien sûr que tu perds le moral quand tu vois que rien ne bouge ou quand tu dois aller mendier des bougies chez des voisines. Il y a des jours où tu te lèves en riant, d’autres en pleurant, c’est comme ça. »

    Depuis le 31 janvier, les voisines sont soudées dans un dernier combat. Le juge sévillan chargé du dossier a autorisé l’expulsion du squat à compter du 15 février. Les voisines ont déposé un recours pour demander sa suspension. Toñi, elle, a commencé une grève de la faim devant IberCaja pour exiger que cinq voisines parties à Saragosse soient reçues au siège de la banque. En attendant, elle insiste :

    « J’essaye de ne pas penser à l’avenir, mais je n’ai pas peur. Je ne me suis même jamais sentie aussi forte. »


    « Sans lumière, sans eau et sans peur » : un slogan dans le garage où les voisines préparent leurs actions (Alexia Eychenne)

     

    Espagne : dans ce squat andalou, des femmes « sans lumière, sans eau, et sans peur » - Rue89

     

     

    Voir aussi mon petit post :

    09/03/2008

    Le village du bonheur et la planète du malheur

     

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    Noël palestinien.

    Ne les oublions pas !

     

     

     

     

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    L'Europe : Son vrai visage

     

     

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    La mondialisation malheureuse.

    Séquence...


    mondiallisation-1.jpg

     

     

     

     

     


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